{-.Kumi Hiraoka

Description Physique :
¤.Que dire de cette petite demoiselle ! Elle n’a rien de plus que les autres filles de son âge si ce n’est une petite taille et une silhouette frêle qui la rendent fragile. Mais ce n’est qu’une apparence. Cette japonaise a une bouille de clown qu’elle laisse souvent naturel. Pas de maquillage à gogo, juste ce qu’il faut pour souligner ses deux prunelles ébènes très expressifs et du gloss pour ses lèvres gourmandes. Ces couleurs fétiches : vanille et praline ! Comme toutes asiatiques qui se respectent, Kumi a les cheveux lissés de naissance mais n’hésite pas à abuser du fer à lisser de ses camarades pour les rendre plus jolis et facile à coiffer. Généralement, elle les porte en queue de cheval haute lorsqu’elle travaille ou tout simplement détachés pendant ses jours de congé. Elle est loin d’être superficielle. Elle est juste Kumi. Pour ses vêtements, autant dire qu’elle est très classique dans ses choix. N’ayant pas énormément de moyen, elle se rabat sur les bons prix et le pas cher. Mais savez-vous qu’on arrive très bien à s’habiller pour quelques yens ! Si si. Kumi arrive à être au minimum à la mode… vraiment au minimum. Mais après tout, ce n’est pas l’aspect extérieur qui compte et qui détermine réellement une personne mais celui de l’intérieur. Question signes particuliers, Kumi n'a pas de pierçings fantaisistes sauf aux oreilles, elle aime bien changer la couleur de ses yeux, souvent gris ou bleu. Depuis peu, la demoiselle s'est fait tatouée dans le bas de son dos, un lotus.

Caractère :
¤.Justement en parlant de son côté intérieur, cette demoiselle a un bon fond. Loin d’être moqueuse ou même méchante, Kumi est attachante par son dynamisme et ses pitreries. Toujours de bonne humeur, elle donne des rayons de soleil à son entourage et peu passer des et des heures à remonter le moral d’un proche. Sa famille dirait qu’elle a le cœur sur la main malgré son tempérament d’impulsive et bornée. Elle a également un petit côté maniaque qui ressort lorsqu’elle travaille. Kumi peut aussi se montrer jalouse et rancunière. Les mots ne lui font pas peur, elle peut être parfois mordante mais ce n’est pas pour dire des méchancetés ou faire des coups bas, elle dit tout simplement la vérité et parfois, ça peut être vexant. En parlant de vexant, la brunette se vexe rapidement mais cela ne dure qu’un petit moment. Rancunière certes mais elle n’est pas une miss boudin. Toujours souriante et prête à aider, le petit bout de femme passe sa famille avant elle. Tout ce qu’elle gagne, c’est pour les siens. Il est rare qu’elle se garde quelques yens pour des dépenses inutiles. L’argent est précieux à ses yeux, au point d’être trop économiste. Un yen est un yen ! A ne pas oublier. Côté sentiment, Kumi est un peu naïve par sa gentillesse et peu largement se faire avoir par des garçons peu scrupuleux. Elle a son côté conte de fée. Oh bien sur, elle n’a pas dans l’esprit le type même du Prince charmant mais elle quelques idées. Rêveuse dans l’âme et pleine d’imagination, ses relations sont souvent passionnés et loin d’être platoniques. Bon en même temps, elle a eu deux petits amis… pas de quoi faire la maligne. Mais elle reste une personne fidèle aussi bien en amour qu’en amitié.


Histoire :

♥ Diary’s Kumi ♥

Mercredi, 15 juin :
Mon cher journal, j’ai pris mon Bic pour mettre certains points de ma vie au clair. Car après tout, si je meurs demain, personne ne saura qui je suis vraiment.

Je m’appelle Kumi Hiraoka, et je suis née un lundi 8 décembre. Ma mère m’en a souvent parlé de cette fameuse naissance. Je lui ai, d’après ses mots, pourri le ventre pendant neuf mois. Soit disant que j’étais mal positionnée… Bref, passons les détails médicaux sans importance car au final, je suis bien là. Et c’est ce qui compte ne ? J’ai connu un début d’enfance classique. Seule enfant d’un heureux et chanceux couple, j’étais un bébé adorable mais qui ne pensait qu’à manger ! Rien n’a vraiment changé à ce jour. J’ai tout le temps des fringales et il me faut facilement quatre madeleines au chocolat pour combler tout ça. Ne me parle pas de kilos ! T’en vois-toi, des kilos en trop ? Bon alors… Je continue mon histoire. Je suis restée fille unique pendant deux an et demi car après, mon frère est arrivé en Août. « C’était la pleine lune à ta naissance Kumi, ce qui signifiait que le second bébé que j’allais avoir serait un garçon ! » Ma mère et ses prédilections … A croire qu’elle doit planquer une boule de cristal dans une armoire car c’est bien un mâle qui est venu après moi. Kiro Hiraoka. Un petit merdeux qui me pollue encore l’existence. Mais c’est le rôle des plus jeunes. Alors j’assume celui de grande sœur comme une pro et les baffes, tu peux me croire que ça fusent !
Franchement, je ne pensais pas que la situation de ma famille allait se dégrader autant. Avec Kiro, on n’a jamais été privé de quoique se soit. Bien sur qu’on n’avait pas à chaque noël tous les jouets qu’on avait choisis six mois à l’avance, mais on ne peut pas dire non plus qu’on était malheureux. Sans doute parce que tout allait encore bien à cette époque. Pour reprendre sur ma petite enfance, je vais juste clore avec un drame familial, mais en même temps, c’est la vie. J’ai perdu mon grand-père paternel dans l’année de mes six ans. Et je me souviens encore de son visage souriant et de ses lunettes en cul de bouteilles. Il nous a prit appris beaucoup de chose … Excuse, je fais une pause.
Voilà ! Ca va mieux. Il ne faut pas que je me montre trop émotive. Ca risquerait de nuire à mon image… j’déconne. Oh ! Il faut que je te parle de mon adolescence. Bien que j’en sois tout juste sorti. Mais tu sais, en prenant du recul, je me dis que j’étais vraiment une gamine. Tout d’abord l’école. Qui aime franchement les cours ? Les profs ? Les petites pétasses et les prétentieux qui font de ta classe un enfer ? Moi je faisais partie de la fille qu’on trouvait sympa. Une bonne copine quoi. Je n’avais pas de clan. Ni de groupe. J’étais en faite assez solitaire mais toujours entourée de monde. Ce n’est pas paradoxal ça ? Je ne m’en suis jamais plain. Personne ne m’ennuyait. Et comme j’avais d’assez bonnes notes en classe, on me sollicitait pour des conseils. Cette vie me plaisait. Non non t’inquiète pas, je ne suis pas nostalgique. Que dire de plus sur cette période ? Mes amitiés peut- être… J’étais toujours avec des garçons. Ce n’est pas que je m’aimais pas parler avec les filles, mais je me suis toujours sentie mieux en présence masculine. Et de toi à moi, c’est eux qui savent le plus s’amuser. J’ai fais pas mal de bêtises ! Mais jamais rien de bien méchant. C’est d’ailleurs grâce à eux que j’ai appris à me servir de mes poings et de mes jambes. Il parait même que j’ai un crochet du gauche qui fait mal ! Moii ! Tu te rends compte ? Si je pèse 45kg à tout casser… Bref, dans tout ça, il a bien fallu que je tombe sous le charme de deux garçons. Le premier s’appelait Neji. Un petit rebelle qui avait les poings facile. Tout aurait été parfait si ce baka n’avait pas un goût très prononcé pour la collection des conquêtes féminines. Je n’ai pas versé une seule larme, en revanche pour Hiro… J’ai eu le cœur en miettes. Il était presque parfait ! Gentil. Attentionné. Doux. A l’écoute. Il avait le rire facile et il aimait manger, comme moi. L’accord parfait. Mais sa famille a quitté le Japon pour s’installer en Corée. Depuis, je n’ai plus de nouvelles. Tu vois, rien de bien glorieux mes amours. Si on peut parler de ce sentiment. Non, je crois en faite que c’était simplement de l’attachement. Car confidence pour confidence, je ne suis jamais tombée amoureuse.

Jeudi, 16 juin ::
Cher journal, je viens de faire un rêve merveilleux ! J’étais acceptée à l’Ecole de Danse de Tokyo. Celle que je convoite depuis des années avec ma prof ‘. Je t’ai pas parlé de ma passion, que je suis nouille. Depuis mes trois ans, je danse. Ma mère et mon père m’ont fait suivre des cours en voyant que je me débrouillais plutôt bien. Je peux tout danser. J’ai bien un souhait, un projet d’avenir… devenir une danseuse professionnelle et pourquoi pas danser derrière des chanteurs, sur une scène ! Le truc géant. Mais pour cela, il faudrait justement que j’intègre cette école pour avoir, ne serais-ce qu’une chance pour y arriver…

Vendredi, 17 juin ::
Mon cher journal. C’est la fin. Mes parents viennent de m’annoncer la situation merdique de notre famille. Mon père ne peut plus régler les dettes qu’il a emmagasinées depuis des années. Ma mère n’arrive pas à vendre ses fritures au marché et mon frère ne cesse de se faire virer des écoles où il met les pieds. En parlant d’école… j’ai du me retiré. Mes parents ne peuvent plus payer mon année scolaire. Tu vois, je me sens faible en ce moment. Totalement inutile et complètement anéantie. Pourquoi le sort s’acharne-t-il autant sur une même famille ? Tout ce que je voulais, c’était danser. Je suis épuisée. Bonne nuit.

Lundi, 20 juin ::
Mon journal ! Je viens d’apprendre une excellente nouvelle ! Je suis prise comme domestique au Palais. Je vais pouvoir travailler et faire le ménage dans une demeure luxueuse ! Le salaire est bon et je vais pouvoir aider mes parents. Ce n’est pas la fin des soucis mais je sais que c’est un début. Si je travaille dur et que je gagne suffisamment, ma famille pourra relever un peu la tête de ses dettes et la vie sera moins grise. J'ai du mentir en contrepartie sur mon âge. Mais de nos jours, nous n'avons rien sans rien ! Je fais mes valises ce soir et je prend le train demain matin. Souhaites- moi bonne chance !


…Fin. [Je pense le remplir au fur et à mesure de ses histoires au Palais xD.]


Relations : /
Avatar : Risa Niigaki

Bienvenue!

(j'adoore ce smiley xD)

Arigatô !

Arigatô ^^

OhayOo !


Bon jeu parmi nous !!

Bienvenue parmis nous didons yen à des nouveaux lol